LGV Toulouse-Bordeaux : Signez la pétition!
À peine une minute pour dire oui à la Ligne à Grande Vitesse primordiale pour la 4e ville de France!
Ne perdez pas une seconde, signez ! 🚅 ➡️ https://tgv-toulouse.fr

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Le 25 mars dernier, j’étais ravie d’être aux côtés de Jean-Luc Moudenc et de mes collègues Christophe Alvès et Bertrand Serp, pour l’inauguration du Pôle associatif des Pradettes, un espace intergénérationnel qui permettra de renforcer encore un peu plus la vitalité de ce quartier toulousain.
Quel plaisir ensuite de participer au traditionnel repas des aînés du COSAT, le Centre des Œuvres Sociales des Agents de la Ville et de la Métropole, où Plus de 2500 seniors ont pu de divertir et danser après un délicieux déjeuner préparé par nos cuisines municipales.
Première étape, le 15 mars dernier à Bruguières, des permanences que nous organisons avec Pierre Médevielle dans tout le département ce printemps, afin d’aller à la rencontre des maires et des élus locaux haut-garonnais.
Merci à Philippe Plantade, à son adjointe à l’urbanisme, Fabienne Joyeux, et à leurs équipes pour l’accueil et la visite du futur local du CCAS, projet que je suis heureuse de soutenir via la réserve parlementaire.
Le 13 mars dernier, j’étais aux côtés de Jean-Luc Moudenc, Maire de Toulouse et Président de Toulouse Métropole, pour accueillir au Capitole, mes collègues Sénateurs, membres de la mission de contrôle et de suivi de la mise en œuvre des dernières lois de réforme territoriale, lors de leur étape toulousaine.
Le 11 mars dernier, inauguration de la première borne de recharge pour véhicules électriques de Lanta, en présence du Maire, Marc Mengaud, du Président du Syndicat départemental d’électricité de Haute-Garonne, Pierre Izard, du Conseiller départemental Gilbert Hébrard et d’Arnaud Lafon, Maire de Castanet-Tolosan et candidat aux prochaines élections législatives.
Lundi 13 février, députés et sénateurs se sont accordés sur une version commune du projet de loi relatif à la sécurité publique en commission mixte-paritaire.
Face à l’augmentation des risques auxquels sont confrontées nos forces de sécurité intérieure, ce projet de loi vient renforcer les moyens mis à leur disposition.
En matière d’emploi des armes, un cadre commun est fixé pour l’ensemble des forces de sécurité. Ainsi, après sommations et en cas d’absolue nécessité les policiers pourront, au même titre que les gendarmes, faire usage de leur arme de manière proportionnée à la situation.
Figurent également dans ce texte :
– La promesse de l’anonymat des forces exposées au danger ;
– Le renforcement des peines en cas d’outrage aux personnes dépositaires de l’autorité publique ;
– L’amélioration des dispositifs de contrôle des individus ayant cherché à rejoindre un théâtre d’opérations extérieures et susceptibles de porter atteinte à la sécurité publique ;
– Ou encore, la possibilité d’armement des agents de sécurité privée exerçant des activités de protection de l’intégrité physique des personnes.
Le 24 janvier dernier, le Sénat adoptait ce texte et introduisait par voie d’amendement, l‘élargissement du bénéfice d’une partie des dispositions relatives à l’usage des armes aux policiers municipaux autorisés à porter une arme en cas de « périple meurtrier ».
Le 8 février, les députés adoptaient ce texte en supprimant les dispositions introduites au Sénat concernant la police municipale avant de faire machine arrière à l’occasion de la commission mixte-paritaire du 13 février.
Je me félicite de l’adoption d’une version commune du projet de loi relatif à la sécurité publique ainsi que du changement de position des députés qui permet aux policiers municipaux autorisés à porter une arme de bénéficier du nouveau cadre de légitime défense, créé par le projet de loi.
D’autres dispositions à destination de la police municipale figurent dans ce projet de loi tels que :
– La possibilité pour ces derniers de procéder à des palpations de sécurité ;
– La possibilité de retenir toute personne en attendant l’arrivée de la police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale ;
– Ou encore, l’abaissement des seuils de mutualisation de leurs effectifs.
Enfin, le délit de consultation habituelle de sites djihadistes a été introduit par la commission mixte-paritaire en tenant compte des réserves émises par le Conseil constitutionnel à ce sujet.
Ce texte marque notre entière confiance envers les forces de l’ordre de notre pays, dont la sécurité doit être assurée afin qu’ils protègent au mieux nos concitoyens.
Ce mardi 24 janvier, le Sénat a adopté le projet de loi relatif à la sécurité publique visant à renforcer la protection des forces de l’ordre et la sécurité juridique de leurs interventions.
Depuis déjà quelques années, dans un contexte de menace terroriste, et particulièrement au cours de l’année 2016 nos forces de sécurité intérieure ont été intensément mobilisées. Elles sont, par ailleurs, confrontées quotidiennement à des risques croissants et doivent faire face à des situations d’urgence de manière plus fréquente.
Le projet de loi adopté par le Sénat vient dans ce contexte renforcer les moyens mis à disposition de nos forces de sécurité intérieure.
En matière d’emploi des armes, un cadre commun pour l’ensemble des forces de sécurité est fixé. Après sommations et en cas d’absolue nécessité, les policiers pourront, au même titre que les gendarmes, faire usage de leur arme de manière proportionnée à la situation.
En outre, le Sénat a introduit par voie d’amendement, l’élargissement du bénéfice d’une partie des dispositions relatives à l’usage des armes aux policiers municipaux autorisés à porter une arme en cas de « périple meurtrier » (cavale après réalisation d’un attentat).
En cas de danger, il sera désormais possible pour les membres des forces de sécurité intérieure de s’identifier par un numéro d’identification administrative. Le juge pourra toutefois demander la révélation de l’identité réelle de l’individu en cas de litige.
Au delà de ces deux mesures notoires, le texte prévoit :
Je me félicite de l’adoption par le Sénat de ce projet de loi, qui, selon moi, représente un grand pas en avant pour la sécurité de nos forces de l’ordre et par conséquent de nos concitoyens. Face aux risques croissants auxquels notre Pays est confronté, notre soutien et notre confiance envers les forces de sécurité intérieure doivent être sans réserve.
« Comment imaginer, en 2016, une France sans TGV entre Paris et Lyon?
Quelle serait la réaction des Marseillais, des Lillois, des Strasbourgeois ou encore des Bordelais si on leur disait aujourd’hui : « Désolé, le TGV pour Paris, c’est fini »?
Comment alors accepter que Toulouse, 4e ville de France, et sa grande agglomération, qui accueille en moyenne 17 000 nouveaux habitants par an, devrait être la seule métropole de cette importance à être exclue du réseau ferré français à grande vitesse?
En termes d’équité sur le plan de l’aménagement du territoire, en termes de fair-play dans la compétition que se livrent aujourd’hui les grandes métropoles françaises et européennes, cette hypothèse est tout simplement inacceptable. »
A l’occasion du débat sur l’avenir du transport ferroviaire, qui s’est déroulé le 23 novembre dernier, au Sénat, j’ai donc tenu à rappeler que la réalisation de la liaison à grande vitesse entre Toulouse et Bordeaux était plus que jamais un enjeu national prioritaire… Comme l’a d’ailleurs reconnu la commission Mobilité 21 en juin 2013.
Comme chaque année, du 10 au 17 décembre, les Seniors des 70 clubs de la ville de Toulouse ont été conviés, à l’occasion des fêtes de fin d’année, à un déjeuner suivi d’un spectacle haut en couleur.
Un grand bravo aux artistes et mille mercis aux équipes de la mairie autour de Marie-Laure, à celles des cuisines centrales et aux jeunes de l’école hôtelière.
Insincère et démagogique, le projet de loi de finances 2017 reflète l’échec du quinquennat qui vient de s’écouler. En refusant d’examiner le budget 2017, la majorité sénatoriale a contesté les choix et la politique économique du gouvernement, qui, en cinq ans, n’aura pas atteint ses objectifs.
Après un examen approfondi de l’ensemble du projet de budget par les commissions du Sénat, la majorité sénatoriale a décidé de ne pas examiner ce texte en séance. Le 30 novembre dernier, par l’adoption d’une question préalable, le Sénat a donc rejeté en bloc le projet de loi de finances pour 2017.
Plusieurs raisons ont motivé cette décision exceptionnelle.
Un budget reflétant l’échec du quinquennat de F. Hollande
Ce budget comporte tous les éléments permettant de dresser un constat accablant des choix effectués en matière d’économie au cours du dernier quinquennat.
Un budget insincère
Ce rejet en bloc est, en outre, justifié par son insincérité. Ainsi, le Haut Conseil des Finances Publiques (HCFP), organisme indépendant chargé de rendre un avis sur les prévisions budgétaires du gouvernement, a fait part de ses inquiétudes concernant ce budget. Les prévisions de croissance du gouvernement (1,5% en 2017) divergent de celles du FMI (1,2%) et de l’OCDE (1,3%).
Des mesures démagogiques
Enfin, à l’approche des échéances électorales de l’année 2017, ce budget s’apparente à un catalogue de mesures différentes catégories d’électeurs. Des mesures très populaires mais inapplicables…