Lutte contre le terrorisme, démantèlement de trafics en tout genre, sécurisation de nos frontières… Plus que jamais, dans le contexte actuel, la Direction Générale de la Douane et des Droits Indirects (DGDDI) est amenée à jouer un rôle majeur dans notre pays.
C’est la raison pour laquelle le Parlement a soutenu sans réserve la décision du Président de la République de créer, au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, 1000 postes supplémentaires en deux ans, au sein de cette administration.
Pourquoi dès lors, le Gouvernement n’a-t-il pas suspendu le plan « Douane 2018 » qui prévoit la suppression de près de 250 postes par an les deux prochaines années ? Ubuesque !
Avec 75 de mes collègues parlementaires, nous avons donc décidé d’interpeller le Premier ministre sur cette situation, tout en lui demandant de renforcer les moyens humains et matériels dédiés à la DGDDI.
Retrouvez ci-dessous notre courrier commun :