par Brigitte Micouleau | Oct 26, 2015
Je suis ravie d’avoir pu soutenir, grâce à une subvention issue de ma dotation d’action parlementaire, la fameuse « réserve », l’acquisition de deux véhicules hybrides (électrique et essence) par la commune de Bruguières.
par Brigitte Micouleau | Août 20, 2015
Alors que la crise subie par le monde agricole perdure et que les mesures annoncées par le Gouvernement, il y a maintenant un mois, n’ont rien changé, nous avons souhaité, avec ma collègue la Députée Laurence Arribagé, nous adresser directement au Président de la République.
Pour que l’agriculture française puisse enfin respirer, pour qu’elle redevienne ambitieuse et rayonne à l’international, nous lui demandons d’en faire une « grande priorité nationale ».
À LIRE => Lettre au Président de la République
par Brigitte Micouleau | Juil 22, 2015
Face à l’ampleur de la crise agricole qui menace l’avenir de nombreuses exploitations dans notre pays, j’ai non seulement cosigné, comme 180 parlementaires, l’appel de François Fillon au Président de la République afin que des mesures de soutien soient prises en urgence, mais j’ai également souhaité interroger directement, avec mon collègue Pierre Médevielle, le ministre de l’Agriculture sur les réformes structurelles qu’il entendait mettre en œuvre pour valoriser les productions de nos agriculteurs et leur permettre de vivre décemment du fruit de leur travail, notamment via la commande publique.
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Madame Brigitte Micouleau attire l’attention de Monsieur le ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, Porte-parole du Gouvernement, sur la situation des agriculteurs et notamment sur la nécessité de mettre en valeur les qualités des produits issus de notre agriculture afin de valoriser le travail des agriculteurs et de leur permettre d’en vivre décemment.
Il est nécessaire de créer un véritable support de valorisation des produits issus de notre agriculture, de permettre au consommateur de reconnaître aisément ces produits et enfin d’inciter à l’utilisation de ces produits dans la restauration et notamment dans la restauration scolaire et universitaire, les restaurants administratifs, la restauration hospitalière, pénitentiaire… Elle lui demande quelles mesures seront prises afin de répondre à ce besoin.
par Brigitte Micouleau | Juin 3, 2015
La loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) va profondément redéfinir les compétences de nos collectivités territoriales… Une refonte qui aura des conséquences sur notre quotidien à tous.
Cette semaine, l’examen en seconde lecture de ce texte par le Sénat a été l’occasion pour moi de déposer en séance publique une dizaine d’amendements cosignés par bon nombre de mes collègues. Je me réjouis que ceux visant à préserver le rôle économique des métropoles aient été soit directement adoptés, soit repris par le Gouvernement.
Ces grandes intercommunalités se devaient d’être fortement associées à l’élaboration des Schémas régionaux de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII).
Je regrette, en revanche, que malgré les arguments développés par le Sénateur héraultais Jean-Pierre Grand et moi-même, la commission et le Gouvernement n’aient pas souhaité, en pratique, donner une plus grande place aux métropoles en matière d’emploi. Cela aurait été gage de cohérence alors que nous nous dirigeons vers une régionalisation du service public de l’emploi.
Enfin, je ne peux qu’approuver, après les avoir soutenus, la meilleure prise en compte des territoires ruraux et hyper-ruraux en matière de développement économique, ainsi que le nouvel abaissement à 5000 habitants du seuil de création des intercommunalités. Un seuil qui, en dehors des zones urbaines, permettra de garder des structures proches des citoyens et adaptées à leurs attentes.
La réforme territoriale ne peut pas et ne doit pas se faire au détriment d’une partie du territoire et de ses habitants.
par Brigitte Micouleau | Fév 13, 2015
Ces derniers jours, j’ai reçu de nombreux messages de Haut-Garonnais me faisant part de leur totale opposition à l’une des dispositions phares du projet de loi « pour la croissance et l’activité », autrement appelé « Loi Macron » : l’extension du travail dominical.
Étant l’épouse d’un restaurateur qui, durant 35 ans, a travaillé tous les dimanches, je peux réellement témoigner de la difficulté de concilier vie de famille et activité professionnelle ce jour-là.
Si je reconnais que certaines activités, je pense notamment au secteur de la santé, de la sécurité, de l’hôtellerie-restauration, du tourisme, de la culture doivent pouvoir être exercées le dimanche, à titre personnel, je reste néanmoins intimement convaincue de la nécessité de préserver autant que possible le repos dominical. Et ce afin, notamment, de permettre aux familles de se retrouver et aux associations, de toute nature, de développer leurs activités durant cette journée.
C’est une des raisons pour lesquelles, lorsque ce projet de loi, actuellement en discussion devant l’Assemblée nationale, sera présenté devant le Sénat, je voterai contre.