Le 2 avril 2015, j’étais l’oratrice du groupe UMP sur la proposition de loi autorisant l’usage contrôlé du cannabis. La dépénalisation prévue par ce texte ne réduisant pas les dangers d’une consommation régulière, ni n’entraînant pas un meilleur contrôle du trafic, aura été une fausse bonne idée, ou plutôt, une vraie mauvaise idée.